R.I.P. Best of 1985-2004, Thomas Ott (L'Association)

[Thomas Day]

La fiche livre chez BD Gest'

Je ne sais plus qui a attiré mon attention sur Thomas Ott (impossible de faire une recherche sur un mot de trois lettres), si c'était sur ce forum ou un autre, mais je me suis procuré son Best Of 1985-2004 à L'Association (impossible de faire une recherche sur le titre R.I.P. aussi).
J'y retrouve (même si c'est très différent) ce qui me plaît tant chez Corben, cet humour, ce sens de l'horreur, du grotesque, du monstrueux.
Ce sont des histoires d'horreur assez courtes qui rappellent les Eerie&Creepy de Corben (disponibles chez Délirium).
Sur le seul plan technique c'est à tomber, mais certaines histoires sont aussi sympas, avec des subtilités, des petites feintes scénaristiques.

A picorer ! A savourer !

TD

[Aldaran]

Et c'est de la carte à gratter ! Oo

[ubikD]

Pour information, Thomas Ott s'est illustré (euphémisme) dans cette excellente réédition de A Hell of a Woman de Jim Thompson. Avis aux amateurs.

[Weirdaholic]

Je ne sais plus qui a attiré mon attention sur Thomas Ott (impossible de faire une recherche sur un mot de trois lettres), si c'était sur ce forum ou un autre, mais je me suis procuré son Best Of 1985-2004 à L'Association (impossible de faire une recherche sur le titre R.I.P. aussi).
J'y retrouve (même si c'est très différent) ce qui me plaît tant chez Corben, cet humour, ce sens de l'horreur, du grotesque, du monstrueux.
Ce sont des histoires d'horreur assez courtes qui rappellent les Eerie&Creepy de Corben (disponibles chez Délirium).
Sur le seul plan technique c'est à tomber, mais certaines histoires sont aussi sympas, avec des subtilités, des petites feintes scénaristiques.

A picorer ! A savourer !

TD

Il faut chercher via un célèbre moteur de recherches, lol... (En prime, RIP est aussi le titre d'une série de bandes dessinées sous influence des frères Coen mais n'ayant rien à voir avec Thomas Ott.)

La première à avoir indirectement évoqué le travail du monsieur ici est Shibia, j'avais même rebondi sur son post. Je ne me suis pas replongé récemment dans son oeuvre, mais j'en garde un très bon souvenir, analogue à ce que tu décris.

Et c'est de la carte à gratter ! Oo

Oui, son boulot est extraordinaire.

(Pour les néophytes, Thomas Ott part d'une surface noire, qu'il gratte pour y faire apparaître du blanc... C'est vraiment une technique en soi, et archi-difficile, puisqu'une erreur oblige à ruser ou à tout recommencer.)

[JDB]

Et c'est de la carte à gratter ! Oo

Oui, son boulot est extraordinaire.

(Pour les néophytes, Thomas Ott part d'une surface noire, qu'il gratte pour y faire apparaître du blanc... C'est vraiment une technique en soi, et archi-difficile, puisqu'une erreur oblige à ruser ou à tout recommencer.)

Si tu ne connais pas, je te recommande l'album d'Andréas sur scénario de François Rivière, Révélations posthumes (bon, je ne sais pas s'il est trouvable facilement--perso, j'ai l'EO de 1981, dédicacée par les auteurs lors du festival d'Angoulême où il y avait une expo des planches originales).
JDB

[Weirdaholic]

Et c'est de la carte à gratter ! Oo

Oui, son boulot est extraordinaire.

(Pour les néophytes, Thomas Ott part d'une surface noire, qu'il gratte pour y faire apparaître du blanc... C'est vraiment une technique en soi, et archi-difficile, puisqu'une erreur oblige à ruser ou à tout recommencer.)

Si tu ne connais pas, je te recommande l'album d'Andréas sur scénario de François Rivière, Révélations posthumes (bon, je ne sais pas s'il est trouvable facilement--perso, j'ai l'EO de 1981, dédicacée par les auteurs lors du festival d'Angoulême où il y avait une expo des planches originales).
JDB

Je connais (j'apprécie beaucoup Andreas) ; par contre, ça fait un moment que je l'ai lu, je m'en souviens à peine... donc il faut clairement que je le relise.